Lundi 14 mars 2022, le procès pour le meurtre d’un habitant de Fuveau dans les Bouches-du-Rhône s’ouvre à Aix-en-Provence. L’accusé a jeté de l’huile sur le feu en accusant le chien de son voisin d’avoir tué son animal de compagnie.
À Fuveau, dans le département des Bouches-du-Rhône, une violente guerre de voisinage a éclaté. Selon le journal La Provence, un habitant de cette petite commune tranquille a été reconnu coupable de meurtre le lundi 14 mars 2022 à Aix-en-Provence. Il aurait été armé d’un fusil de chasse afin de tuer le chien de son voisin, qui avait tué son chat.
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Le 18 septembre 2018, un récit horrible commence au goulot d’étranglement de Mésanges. Le chat de l’accusé se rend aujourd’hui dans la cour d’un voisin. Cette personne possède un chien qui semble hésiter à laisser le félin à l’intérieur de ce qu’il considère comme son territoire.
En conséquence, la bête s’accroche à lui et l’étouffe à mort. Le chat succombe à ses maux en peu de temps. Le récit, cependant, ne s’arrête pas là.
Plutôt que d’intimider son voisin, le propriétaire du chat sort un revolver et tire sur le propriétaire du chien. Ce dernier meurt inopinément en présence de sa femme, d’un voisin et de son chien.
Le coupable du coup de couteau se rend à la gendarmerie de Gréasque, une ville voisine, à l’âge de 69 ans et avoue son crime.
L’objectif du tireur est le seul détail auquel il prête attention. Il affirme avoir voulu tuer le chien et non son maître. Un but qui sera sans doute au cœur de son procès et qui, s’il est démontré par sa défense, pourrait avoir une influence substantielle sur la conclusion de l’affaire.